CAC40 et Web Analytics

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[cliquez pour détails]Après les élections présidentielles, il me semblait intéressant d’examiner un autre type de pouvoir: les entreprises du CAC40.

La fluctuation du cours en bourse des ces entreprises, commentée par Bernard Tixier – alias Jean-Pierre Gaillard, a bercé mes plus jeunes années sur France Info pendant le trajet en voiture jusqu’au lycée.

Par déformation professionnelle, je me devais d’explorer le panorama Web Analytics du CAC40.

Avec Guillaume, nous avons fait fonctionner un ‘crawler’ – fureteur pour nos amis Québecois – qui a parcouru les sites des 40 entreprises pour récupérer les informations WA de chaque site.

Voici nos résultats:

Pour ma part, je suis étonné que Webtrends ne soit pas davantage implanté dans ce CAC40, ne serait-ce que pour des raisons historiques.

  • XiTi et SiteStat bien positionnés, en apparence tout du moins : attention aux limitations fonctionnelles, vous jouez dans la cour des grands!
  • Omniture commence à pointer le bout de son nez avec 8%.
  • Google Analytics, l’outsider n’est pas en si mauvaise position, toutes proportions confondues.
  • WebSideStory aurait bien besoin d’un petit coup de pouce 😉
  • Viennent enfin les outils descendant en droite ligne des fameux compteurs de visiteurs des années 1995-2000: les Weboscope, Audientia, NetBoostTrack.
  • Et enfin, AWstats, qui fait à mon avis un peu figure d’OVNI dans ce panorama. Je me demande même pourquoi il est encore utilisé
Entreprise Solution WA
ACCOR XiTi
AGF-ASS.GEN.FRANCE XiTi
AIR LIQUIDE n/a
ALCATEL Omniture
ALSTOM SiteStat
AXA Webtrends
BNP PARIBAS Google Analytics
BOUYGUES n/a
CAP GEMINI Omniture
CARREFOUR n/a
CREDIT AGRICOLE XiTi
DANONE SiteStat
DEXIA SiteStat
EADS SiteStat
EDF n/a
ESSILOR INTL. n/a
FRANCE TELECOM Webtrends
GAZ DE FRANCE SiteStat
L’OREAL n/a
LAFARGE XiTi
LAGARDERE S.C.A. Audientia
LVMH WebSideStory
MICHELIN n/a
MITTAL STEEL A n/a
PERNOD RICARD n/a
PEUGEOT NetBoostTrack
PPR Weboscope
PUBLICIS GROUPE SA n/a
RENAULT SiteStat
SAINT GOBAIN SiteStat
SANOFI-AVENTIS XiTi
SCHNEIDER ELECTRIC XiTi
SOCIETE GENERALE Weboscope
STMICROELECTRONICS Webtrends
SUEZ n/a
THOMSON (EX:TMM) Omniture
TOTAL XiTi
VEOLIA ENVIRON. Awstats
VINCI (EX.SGE) in-house
VIVENDI Google Analytics

NB: la mention “n/a” indique qu’aucune information n’était directement disponible pour le site en question, ce qui laisse 3 explications:

  • Le site ne contient pas de système de Web Analytics.
  • Le site est traqué grâce à une solution d’analyse de logs à la Webtrends.
  • Le site est suivi par un moteur applicatif de statistiques de visites interne invisible au moment du rendu HTML de chaque page.

Examinons maintenant la répartition suivante (cliquez pour voir le graphe):[cliquez pour détails]

Solution WA %age CAC40
n/a 28%
XiTi 18%
SiteStat 18%
Omniture 8%
Webtrends 8%
Google Analytics 5%
Weboscope 5%
Audientia 2%
AWStats 2%
in-house (interne) 2%
WebSideStory 2%
NetBoostTrack 2%

Il apparaît ici clairement que plus d’un quart des entreprises du CAC40 n’utilisent pas d’outils de Web Analytics, ou en tous cas pas de manière directe (visible). S’agit-il toujours des 3 scenarii évoqués plus haut?

Dans le cas d’un manque/absence de solution WA, quelle peut en être la raison?

  • Manque de connaissance/d’intérêt au sujet des WA?
  • Manque de budget? Même des solutions comme Google Analytics sont gratuites et constituent un bon début.

De toute façon, ce constat reflète un cruel manque d’implication des entreprises dans leurs stratégies Internet et Web. Sinon, des solutions WA seraient plus visibles 😉 Comme on voit se profiler ici la pointe de l’iceberg, je n’ose pas imaginer le désert analytique que représentent les intranets et autres applications Web internes de ces mêmes entreprises…

Pour ceux qui ont choisi une solution WA, on retrouve en majorité SiteStat et XiTi, qui eux proposent des solutions payantes, en fonction du volume de pages vues. Cela dit, il me semble que des entreprises du calibre du CAC40 seraient davantage intéressées par des solutions d’un peu plus haut de gamme…

En effet, les considérations d’intégration de données provenant du Web deviennent cruciales dans des entreprises dont l’infrastructure IT doit prendre en compte de larges quantités d’information qui restent, quoi qu’on en dise, l’apanage des solutions plus robustes telles que Webtrends, Omniture ou WebSideStory, avec des solutions de type datawarehouse ou encore qui proposent des connecteurs ODBC/JDBC pour un interfaçage avec les SGBD de l’entreprise.

Conclusions:

Il semblerait que, pour l’instant, le CAC40 ne se sert pas vraiment des outils WA à sa disposition pour analyser l’activité de ses sites et tirer le meilleur parti de sa stratégie online.

Une réflexion plus profonde doit avoir lieu dans chacune de ses entreprises pour vraiment déterminer quel usage est fait de leur site web et surtout dans quelle mesure le site Web est en phase avec la stratégie Internet de l’entreprise. Les Web Analytics consitituent un élément essentiel de cette réflexion.

Vous êtes DSI ou Web Manager/COO?
Peut-être devriez-vous commencer à vous préoccuper de votre stratégie WA? Contactez-nous pour en discuter!

Vous êtes attaché(e) de presse de l’une de ces entreprises?
Il est très probable que vous cherchiez toutes les semaines les pages Web ou les blogs se rapportant à votre entreprise.
Si vous lisez ces lignes et que j’ai réussi à piquer votre curiosité, n’hésitez pas à nous contacter pour poursuivre la discussion. 😉

Bonne semaine à tous!

12 Responses to “CAC40 et Web Analytics”

  1. Xavier Casanova Says:

    Je suis tres surpris de voir autant d’entreprises majeures sans outil. Le marche est ENORME! 🙂

  2. Ramenos Says:

    Merci pour ce beau post ! 🙂

  3. chris194 Says:

    Très interessant.
    Je ne comprends pas la phrase “Cela dit, il me semble que des entreprises du calibre du CAC40 seraient davantage intéressées par des solutions d’un peu plus haut de gamme…”
    Quels sont les outils haut de gamme ? Xiti, Webtrends ?

    Je suis étonné que aucun des 40 sites n’utlisent E-stats/Médiamétrie.

  4. Julien Coquet Says:

    Chris,

    il me semble que les entreprises du CAC40 ont intérêt à se doter de solutions de WA qui répondent aux critères suivants:

    – Haute disponibilité et temps de réponse minimum (mode ASP)
    – Quantité de données stockées/traitées élevée
    – Interfaçage ODBC/JDBC
    – Fonctions datawarehousing
    – Automatisation et livraison des rapports

    Dans cette liste, j’inclus donc:

    – Omniture
    – WebSideStory
    – CoreMetrics
    – WebTrends

    Je n’inclus pas encore XiTi dans cette liste car ils doivent à mon humble avis faire leur preuves dans le domaine de l’échange et l’interfaçage de sources de données, malgré les progrès accomplis avec la version 7.

    Quant à E-stats et Mediamétrie, ils appartiennent selon moi à cette génération d’outils WA qui n’ont pas su tirer leur épingle du jeu et ont continué à baser leur modèle sur les ‘compteurs de visites’. Des outils gratuits comme Google Analytics devraient justement stimuler ces acteurs pour qu’ils fassent évoluer leurs produits.

    Cela répond-il à la question?

  5. chris194 Says:

    Oui
    Mais la plupart des sites que vous avez étudié sont Corporate ou de Comm Financière avc Communiqué de presse, cours de bourse espace actionnaires.
    Je ne pense pas qu’il y ait besoin dans ce cadre d’outils haut de gamme avec Interfaçage ODBC/JDBC.
    Cela concernerait plutôt les gros sites de commerce du genre amazon, fnac.com. ou des banques avec compte bancaire en ligne.

  6. Julien Coquet Says:

    Remarque pertinente avec laquelle je suis tout à fait d’accord 😉

    Cela dit, peu de groupes échappent à la convergence de données provenant de diverses sources internes à l’entreprise. A terme, les entreprises qui font le choix de devenir “data-driven” ont besoin d’inclure, en entrée ou en sortie, des informations provenant qui de leur site web, qui de leur extranet, qui d’applications Web internes ou de Web services.

    C’est dans cette perspective que s’incrivait ma remarque, même si certaines entreprises ne ressentiront effectivement pas, du fait de leur activité, le besoin de se doter d’un système de WA plus robuste.

  7. Aurélie Pols Says:

    Joli billet, beau travail Julien & la fine équipe. Merci Guillaume. C’est quoi le prochain ? le BEL20 ou l’AEX ? René va encore nous imposer l’IBEX35…

    Je voulais réagir à 2 points dans votre discussion.
    Premièrement, le fait que Google Analytics ne représente qu’un pourcentage restreint me rassure en tant qu’économiste. Après tout, les capitaux détenus par ces entreprises représentent tout de même une masse non négligeable et je ne voudrais tout de même pas voir autant d’informations sensibles Européennes si proches d’une multinationale. Même si elle a pour mission « Don’t do evil ».
    La question relative à la confidentialité des données, si elle se doit d’être posée, l’est d’autant plus pour ces entreprises là.
    Je ne leur souhaiterais donc pas de se retrouver piégées dans un filet opposant les notions de vie privée à celle de transparence, d’ici 20 ans.
    Cela me rappelle une discussion de la semaine dernière qui définissait la différence entre « Transparency » & « Disclosure ».

    Non, je ne conseillerais pas à un client du CAC40 Google Analytics. Pour l’instant, et je reste rassurée par la fragmentation de la collectes des données. Comme le dit si bien Xavier, le marché est énorme et je me permettrais de rajouter que la route sera longue.
    Le Congrès de la Fondation Marketing (Stichting Marketing en Flamand) m’a poussé à lire les écrits du Prof. Dr. W. Chan Kim, intitulé « Blue Ocean Strategy : Don’t Compete with Rivals-Make them Irrelevant ».

    La section financière mon cher padawan et vénérés lecteurs, à mon humble avis, est justement la section qui a le plus grand potentiel de diversification et donc de retour sur investissement d’une entreprise faisant part du CAC40.
    Comme le montrent bien les décisions prises récemment par exemple par Volkswagen, il s’agit de décisions stratégiques de long terme qui ont des implications sur les cours de bourse et donc sur la liquidité de l’entreprise.
    Excusez-moi du peu mais toute information concernant la perception de mon entreprise, m’intéresserait moi, en tant que CEO et responsable PR. Et en tant qu’économiste et statisticienne, je ne crois pas en la rationalité totale des marchés financiers. En fait, je m’en méfie comme de la peste, même si j’ai l’impression et j’ai foi en l’évolution depuis le départ de Greenspan.

    Une liste donc de noms d’entreprises (mesuré sur base des adresses IP, accessibles via les outils de Web Analytics) avec leur fréquence de passage sur la section financière du site, les pages vues ainsi que les pages visitées m’aiderait à compléter un certain tableau.
    Je sourie toujours en pensant à Dell et les blogs sur Dell Hell parlant du niveau lamentable des services de support aux clients. Encore aujourd’hui, chez nous, il ne faut pas parler de Dell à Christophe. Il en est furieux !
    Depuis, apparemment le support en Inde a été rapatrié. Mauvaise stratégie, en effet. Ceci Dit, cela n’a pas vraiment l’air de s’améliorer… dixit Christophe mais bon, nous sommes peut être une exception. Espérons le pour le CEO de Dell qui ne croit pas aux blogs 😉

    Oui, cette information m’intéresserait. Et bien utilisées, en phase avec les autres données de mon entreprise, je devrais être à même d’avoir des réponses rapides et concises sur mes questionnements lors de réunions avec mes business analysts.
    Vous n’en avez pas marre de ne pas avoir de réponses à vos questions ou de sentir que l’information est là, au bout des doigts mais pas encore tout à fait exploitable ?
    La richesse de récolte des données d’applications web (cf. SOA) est une source d’inspiration et une ouverture sur un volet de ce qui est possible, exploitable, diversifiable. Et par conséquence profitable.

    Oui, le marché est énorme. La marche sera longue. Le jeu en vaut la chandelle pour celui qui comprend la valeur des données et sait les exploiter à l’avantage… de ses actionnaires.
    En tant que CEO d’une entreprise cotée sur le CAC40, la section finance de mon site public sera mise sous la loupe avec véhémence. Je compterais sur mon agence de Relations Presse pour me sortir des statistiques et régulièrement m’informer sur la perception publique de mon entreprise.
    Après tout, je ne peux me contraindre, en tant qu’économiste, de faire confiance à la rationalité des marchés des capitaux. Soyons sérieux, nous sommes tous humains. Un peu de poudre aux yeux ne fait tout de même pas de mal ? En outre, en cas de pépin, j’aimerais aussi m’assurer que mon image (et donc mon cours de bourse) n’en prenne pas pour leur grade. Ou le moins possible.

    Aurélie

  8. Michael Notte Says:

    Moi j’ai récemment fait la même chose pour les constructeurs automobiles mais sur un échantillon européens et limités à quelques marques (et à leurs sites nationaux ou portails européens).

    Allez hop voici ce que j’en avais sorti (c’était il y a 3-4 mois):

    AUDI: ???
    BMW: WebTrends
    Honda: WebTrends
    KIA Motors: ???
    Lexus: WebTrends (là je suis bien placé pour le savoir :))
    Mazda: WebTrends
    Mercedes-Benz: Instadia (si, si!!!)
    Mini: WebTrends (normal car appartient à BMW)
    Nissan: SiteStat
    Peugeot: ???
    Renault: SiteStat
    Toyota: WebTrends (et je sais de quoi je parle aussi ici :))
    Volvo: WebTrends
    VW: ????

    Bon y en a plein d’autres marques mais bon, WebTrends semble être bien présent.

    En tout cas le domaine de l’automobile n’a pas l’air en reste en ce qui concerne les WA

    Est-ce parce que le marché européens est un des plus difficiles et où la concurrence est dure?

    Allez savoir (mais si tu as un avis, ça m’intéresse :))

    Michaël

  9. Aurélie Pols Says:

    Nice one, Michaël 😉 Merci pour ton input.
    Pour répondre à certaines de tes questions.
    VW a acquis une licence worldwide pour … and the winner is… Instadia!
    Idem en passant pour Volvo…
    Pour ceux qui ne connaitraient pas: http://www.instadia.com
    Sinon, si mes informations sont bonnes, Peugeot tourne, étonnemment, sous Weboscope.
    A noter aussi que Honda a testé du Google Analytics dernièrement d’après les rumeurs.

    La concurrence joue, oui, c’est indéniable. Je discutais avec John Marshall de ClickTracks il y a quelques mois des différents continents et apparemment, la Chine n’est pas du tout un marché intéressant pour les WA. En effet, ce marché est énorme et on ne parle pas pour l’instant de réelle concurrence donc pourquoi se prendre la tête avec ce que nous savons ne pas être une science facile. Et en effet, tu sais de quoi tu parles!

    Nous voyons des secteurs pour l’instant qui bougent, à cause de certains facteurs externes qui influencent les marges à la baisse.
    Le secteur des médias est celui où, indéniablement, les questionnements sont les plus forts, concurrence du média Web oblige.
    Les material handling et autres industrial equipments se bataille également vigoureusement leurs parts de marché et donc se penchent sur les WA de manière plus approfondie. La création du groupe Kion confirme ce besoin de regroupement pour être plus forts. Je n’en revenais pas quand j’ai lu la double page du week-end du Wall Street Journal, il y a quelques mois.
    Le secteur de l’énergie commence à se poser de sérieuses questions. Personnellement, je suis plus inquiète par nos amis Russes mais ça, c’est une autre histoire.
    Ce qui m’étonne encore et toujours, c’est le secteur financier. Ils ne semblent pas réellement être pressés alors que je sais pertinemment bien que là, dijou, il y a des quick wins à prendre!

    Finalement, faire des WA, il faut réellement le vouloir. Je me demande parfois si nous ne sommes pas masos mais au moment où tu arrives à faire parler les chiffres, à déceler une stratégie possible, cela devient vraiment addictive.
    Mais il faut la motivation. Alors soit elle vient “naturellement” par les pressions du marché ou alors parce que le canal en ligne est une partie non négligeable de la stratégie de communication mais également parce que les process deviendront de plus en plus mesurables (cf. le SOA). Quoiqu’il en soit, sans motivation, rares seront les personnes qui joueront vraiment avec les données au moins 20% de leur temps pour arriver à ce qu’Avinash appelle les Insights. A part nous, j’imagine 😉

  10. Michael Notte Says:

    Petit retour sur le sujet – vu que j’ai récemment refait un update sur les WA au sein des constructeurs auto sur l’Angleterre, l’Allemagne, la France, l’Espagne et l’Italie (les 5 plus gros marchés européens).

    WebTrends est fort présent: groupe BMW & Mini, Mazda (DE), Honda (DE), Toyota, Lexus, Renault UK, Volvo Cars. ce dernier utilise bien WebTrends au niveau Européen alors qu’Instadia est utilisé plus au niveau groupe.

    Le groupe VW-Audi utilise bien Instadia -bien que pour VW ce n’est pas le cas pour tous les pays. Ainsi VW UK utilise WebAbacus alors que VW France utilise Weborama.

    Mercedes (encore un autre constructeur allemand) utilise aussi Instadia – sauf Mercedes France (Xiti).

    Google Analytics semble avoir la côte dans les pays du “Sud”: Honda Italie & Espagne, Fiat Italie et Toyota Italie.

    Opel (DE) utilise SiteCatalyst d’Omniture – un héritage de General Motors?

    Si la plupart des constructeurs participent au programme de benchmarking d’eDataXchange (Sophus3) où seulement une partie des sites est mesurée, Opel et Ford l’utilise pour mesurer l’ensemble de leurs sites.

    Renault/Nissan utilise Nedstat (sauf Renault UK)

    Enfin à noter que les Français (sorry Julien ;-)) restent fidèles à eux-même, à savoir qu’ils favorisent les solutions à la Française: Weboscope (Peugeot-Citroen), Ad’oc (Honda France), Xiti (Mercedes France), Weborama (VW France).

    Côté marque de luxe: Porsche utilise Urchin (en version hostée) alors que Ferrari est sur WebTrends.

    Bref tout ça est bien hétéroclite mais confirme que le monde automobile est concerné par les WA. Bien entendu, il est difficile de dire quel est le niveau de maturité de chacun.

    Ceci dit seulement une minorité de marques utilise une plate-forme commune pour la mesure de leurs sites au niveau européen. Comme quoi…

  11. BeCommerce Awards winners & Web Analytics « WebAnalytics.be Blog Says:

    […] Following the example of Julien with his research on the web analytics tools used by CAC40, IBEX35 and DAX30 companies, I thought it would be interesting to take a look at the 2006 and 2007 […]

  12. Le CAC 40 & Web Analytics : mise à jour 2007 « Web Analytics .be Blog Says:

    […] CAC 40 & Web Analytics : mise à jour 2007 Après l’étude sur le CAC40 de décembre 2006, je remets le couvert 7 mois après pour voir si les choses ont […]

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